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acteurs, Cluster, Espaces de production, espaces productifs, firmes multinationales, flux, FMN, FTN, Géographie, Littoraux, métropole, Métropolisation, mondialisation, Réseau, réseaux
27 dimanche Fév 2022
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in09 mercredi Fév 2022
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in16 samedi Nov 2019
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acteurs de la mondialisation, altermondialisme, Banque mondiale, délocalisation, diaspora, division internationale du travail, firmes multinationales, flux, FMI, Géographie, gouvernance mondiale, La mondialisation en fonctionnement, mobilités, mondialisation, OMC, processus et acteurs de la mondialisation, produit mondialisé, réseaux, révision, révisions
Ces activités visent à vous accompagner dans l’acquisition des connaissances de base afin de vous permettre d’être plus efficaces en classe. Cliquez sur l’image ci-dessous et laissez-vous guider…
Ce plan de travail a pour objectif de vous accompagner dans l’avancement du chapitre en vous rappelant les objectifs en termes d’acquisition des connaissances et des compétences.
En cliquant sur l’image ci-dessous, vous accédez à un module de révision permettant de préparer l’évaluation et le BAC en toute sérénité.
Retrouvez sur le Pearltrees du cours une multitude de ressources complémentaires pour approfondir votre maitrise du chapitre :
12 dimanche Mai 2019
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BAC2019, baccalauréat, Croquis, firmes multinationales, Géographie, histoire, historicophiles, mondialisation, mondialisation en fonctionnement, Pôles et flux de la mondialisation, Planning de révisions, révision, Schéma intermédiaire
L’une des épreuves majeures du baccalauréat en histoire-géographie est le croquis de synthèse. Vous devez par conséquent préparer cet exercice avec sérieux.
Cliquez sur chaque image pour accéder à une version à imprimer
Pour réussir un croquis le jour de l’examen, il faut absolument le reproduire à plusieurs reprises sur un fond de carte vierge. Vous devez en effet vous confronter à la difficulté de localiser un élément précis et aux éventuels problèmes de chevauchement de plusieurs figurés. Pour vous entraîner, vous pouvez télécharger des fonds de cartes à cette adresse et partager ensuite vos productions sur les réseaux sociaux d’Historicophiles.
Par ailleurs, trois croquis n’ont pas encore été finalisés et ne sont pas encore disponibles sur Historicophiles. Si vous voulez vous porter volontaire pour une production mutualisée, n’hésitez pas à nous contacter.
Retrouvez d’autres ressources sur le plan de révision du chapitre
11 samedi Mai 2019
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BAC2019, baccalauréat, firmes multinationales, Géographie, histoire, historicophiles, mondialisation, mondialisation en fonctionnement, Planning de révisions, révision, Schéma intermédiaire
L’une des épreuves majeures du baccalauréat en histoire-géographie est la composition. Vous devez par conséquent préparer cet exercice avec sérieux.
Il est notamment intéressant de consulter la note de service n° 2011-149 du 3 octobre 2011 qui définit l’épreuve obligatoire d’histoire-géographie du baccalauréat général pour les séries ES, L et S et qui précise notamment pour l’exercice de la composition :
La présence d’une production graphique intermédiaire est considérée comme un élément de valorisation de votre copie. Il serait par conséquent dommage de se priver d’éventuels points bonus, à condition de préparer correctement ces éléments à apprendre et reproduire le jour de l’examen.
C’est pourquoi je vous propose ce schéma intermédiaire qui permet d’illustrer votre partie de composition sur les acteurs de la mondialisation, et plus particulièrement des firmes multinationales :
Ces productions ne sont pas seulement utiles pour vos compositions. Ce sont également d’excellents supports pour vos révisions. N’hésitez pas à en chercher d’autres et à les mutualiser sur le padlet créé à cet effet !
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12 mercredi Sep 2018
Posted Le fil d'actualité
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Café, firmes multinationales, FMN, mondialisation, mondialisation en fonctionnement, Produit dans la mondialisation, produit mondialisé
Comment la chaîne américaine de cafés, désormais planétaire, a conquis les classes moyennes urbaines. Cette investigation sur trois continents dévoile la face soigneusement cachée de la marque à la sirène.
Starbucks a imprimé sa marque verte et blanche aux rues des principales villes du monde, de Seattle, son berceau d’origine, à la côte Est, l’Europe et aujourd’hui la Chine, où une nouvelle enseigne ouvre toutes les quinze heures en moyenne – toutes les deux semaines à New York, dont les quartiers les plus centraux semblent pourtant saturés par le logo à la sirène. Avec ses quelque 28 000 enseignes dans plus de 75 pays et ses quelque 350 000 employés, la chaîne américaine de cafés se défend pourtant d’être une multinationale comme les autres. Les produits y sont présentés comme issus à 99 % du commerce équitable, les salariés, comme des « partenaires ». Et dans l’Amérique de Trump, elle affiche comme valeurs cardinales la défense de l’environnement, la lutte contre les discriminations et la responsabilité sociale des entreprises. Comment le petit café alternatif ouvert en 1971 par trois copains amateurs d’expresso est-il devenu, en un demi-siècle, ce géant omniprésent de la mondialisation ? Arrivé comme directeur du marketing en 1981, son PDG aujourd’hui démissionnaire, Howard Schultz, qui a racheté l’affaire en 1986, a accompli un tour de force : transformer un breuvage des plus banals en potion magique. De Londres à Shanghai, de Tours à Moscou, l' »expérience » Starbucks, synonyme de sophistication et de modernité, draine des foules prêtes à la payer au prix fort – soit 5 euros en moyenne. Luc Hermann et Gilles Bovon ont enquêté une année durant sur trois continents pour comprendre les raisons de ce succès phénoménal, et en révèlent la face cachée.
Car le redoutable arsenal marketing de Starbucks, sa rhétorique humaniste comme son positionnement haut de gamme dissimulent une réalité plus amère, elle aussi plus banale. Des dures conditions de travail aux désillusions d’un petit producteur mexicain, des produits saturés de sucre et de gras à leur contenant non recyclable, des efforts pour contourner les lois fiscales à une politique immobilière prédatrice, Luc Hermann et Gilles Bovon révèlent le cynisme et l’obsession du profit derrière le masque des bons sentiments. Le portrait nuancé, mais sans concession, d’une entreprise emblématique de l’économie contemporaine.